Le devoir se sensibiliser les jeunes
À mon sens, la plus grande menace sur cette terre, c’est la montée du socialisme, peut-être même plus importante que le réchauffement climatique, la paix, la sécurité et la liberté dans le monde. Toujours selon moi, l’heure est grave quand on observe le comportement des quatre jeunes femmes élues aux États-Unis, issues de minorités, qui n’ont de cesse de propager des idées radicales de gauche, comme celles d’imposer les compagnies et les riches à 70% de leurs revenus, de taxer lourdement les héritages et, tenez-vous bien, de vouloir implanter un système de santé publique comme ailleurs en Occident. Donald Trump, un gars au service du peuple, a bien raison de les décrire comme la brigade idéologique de la gauche radicale. Déjà on devait se taper Bernie Sanders aux States, voilà qu’il fait des petits.
Alors, si on entend de telles foleries socialisantes aux États-Unis, ça signifie qu’il faut agir courageusement et ne pas se laisser divertir par des affaires comme les inégalités de richesse, les paradis fiscaux et même les émissions de gaz à effet de serre. On est vraiment chanceux d’avoir ici au Canada et au Québec des braves comme Andrew Scheer, Maxime Bernier, Carlos Leitao et le Conseil du patronat et l’Institut économique de Montréal pour nous protéger des griffes des communismes. Nous, comme parents et grands-parents, avons le devoir de protéger nos enfants de ces idées socialistes si on veut leur assurer un avenir serein.
C’est exactement ce que je fais en éduquant ma petite-fille Soliane qui vient d’avoir 12 ans. Je vous le dis tout de suite, le travail d’éveil idéologique ne sera pas facile. Elle a déjà rencontré Amir Khadir et Luc Ferrandez, qu’elle a bien aimés. Il y en aura pas de facile…
La mauvaise image de la corruption
Soliane, les élections aux quatre ans sont le socle de notre démocratie. Oui, tu es libre de voter pour le parti de ton choix qui, heureusement adopte les mêmes politiques pragmatiques et réalistes en y allant un petit pas à la fois, afin de maîtriser les inégalités économiques, le réchauffement climatique, l’évasion fiscale dans les paradis fiscaux, etc. Vouloir agir trop brusquement dans la résolution de ces problèmes pourrait mener le Québec à la faillite en faisant fuir nos cerveaux et nos créateurs de richesse. Il ne faut pas polluer les lois naturelles de l’économie de marché par des règlements tatillons et des lois contre-productives et il faut absolument calmer l’ardeur des demandes des syndicats et des écologistes qui, parfois, en raison de leurs demandes exagérées, s’apparentent à des groupes terroristes.
Alors, Soliane, lis bien le titre de cet article du Devoir, publié le 20 juin 2012 : «L’argent sale permet de faire des élections».
Les partis politiques surferaient derrière l’empire de la corruption. Pas de corruption et pas d’élections, un point c’est tout. Veux-tu vraiment qu’il n’y ait pas d’élections libres comme dans les pays communistes? Si la corruption permet de faire des élections en finançant de façon occulte des partis politiques, alors ce n’est pas de l’argent sale mais propre. Il ne faut pas voir le mal partout, quand même!
Parlons du parti libéral du Québec
Le PLQ serait la formation le plus durement affectée par les corrupteurs : «Le PLQ, véhicule politique favori des corrupteurs» (Le Devoir, 28 octobre 2014).
Jean Charest et Philippe Couillard nous ont permis d’avoir des élections en agissant de la sorte. En plus, «Le financement illégal au PLQ a fait progresser les enquêtes de l’UPAC» (La Presse, 17 juillet 2014). Le soutien des firmes de génie au parti libéral a permis de faire progresser une enquête de l’UPAC, car les «anomalies» détectées concernent 11 firmes de génie.
Mais, il se trouve que : «Une majorité de Québécois juge le gouvernement Couillard corrompu» (La Presse, 12 novembre 2016).On peut dire que le parti libéral a toute une montagne à gravir pour se détacher de cette image de corruption.
Si les Québécois pensent ça Soliane, c’est la faute à nos médias qui doivent y être beaucoup avec leurs fake news comme ils le font aux États-Unis en s’acharnant sur Donald Trump.
Corruption et collusion : une industrie qui crée de la richesse
Les montants issus de la corruption et de la collusion devraient être déductibles d’impôts même si en quinze ans cela a coûté aux contribuables québécois entre 30 et 50 milliards de dollars (Collusion et corruption. D’abord rembourser, Le Devoir, 12 novembre 2016).
https://www.ledevoir.com/opinion/editoriaux/381866/d-abord-rembourser
Quelle idée socialiste que de demander à nos élites de rembourser ou encore pire d’aller en prison ? On est quand même pas aux States ici : «L’ex-maire de Détroit écope de 28 ans pour corruption» (Radio-Canada, 10 octobre 2013). Il a été condamné à 28 ans de prison. Ici, il se passe rien.
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/636339/detroit-ancien-maire-kilpatrick-condamne-28-ans-prison
Il faut être fier d’être québécois Soliane, car selon la revue Macleans, le Québec est la province la plus corrompue. C’est un autre volet de la société distincte.
Ceux qui veulent abolir la salutaire corruption et la bienveillante collusion sont des criminels Soliane, comme l’indique le titre de cet article du Journal de Montréal du 15 avril 2014 : «Sans collusion, les petits vont mourir qu’a dit Serge Daunais de Pavages Maska». https://www.journaldemontreal.com/2014/04/14/lentrepreneur-serge-daunais-a-la-barre
Pis, comme l’a si bien mentionné cet autre entrepreneur en construction, Pierre Pomerleau : «L’attention exagérée à l’éthique nuit au Québec» (La Presse, 22 février 2012). La mode de laver plus blanc que blanc, c’est trop éthique.
Alors si on veut créer plus de richesse au Québec Soliane, il faudrait que nos gouvernements légalisent la corruption et les collusions comme ils le font dans les faits pour les paradis fiscaux.
Soliane, la corruption, tout le grand monde important le fait sur cette planète. Donc, il faut que nos entrepreneurs le fassent aussi pour se battre à armes égales et puissent concurrencer les firmes étrangères : «La corruption représenterait 2000 milliards de dollars par année selon le FMI» (Le Devoir, 12 mai 2016).

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