D’autres saloperies des États-Unis

https://www.google.com/search?q=talibans&rlz=1C5CHFA_enCA815CA815&sxsrf=APq-WBtuXmqfn9EEQ_6JjMrn2fppH15heA:1647527852187&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjHjIzDr832AhUSjYkEHZF7AMMQ_AUoAXoECAEQAw&biw=1922&bih=981&dpr=2#imgrc=QBhpkPyJR7aTtM

Un ami et un allié qu’on aime

Pour les États-Unis, le Canada est plus un pantin soumis et colonisé qu’un véritable ami et allié. Il faut, qu’en tout temps, le Canada dise la même chose que son maître et qu’il endosse toutes ses actions, même les plus abjectes. Un inféodé fidèle dans tout et heureux de l’être. Malgré les faits probants, le Canada se dit un pays libre et souverain.

Un autre crime USA envers l’Afghanistan

Mi-février 2022, le président américain démocrate, Joe Biden, a posé un autre geste inhumain et vraiment criminel dans le but de mettre à genoux le gouvernement taliban d’appauvrir encore davantage les Afghans pour qu’ils se soulèvent et réclament eux aussi plus de «démocratie», c’est-à-dire le retour des Américains barbares avec leurs grosses transnationales qui vont s’accaparer de leurs immenses ressources comme ils l’ont fait en Irak et ailleurs.  Aie, Biden vient de s’emparer des 7 milliards de dollars U.S. qui appartiennent à l’Afghanistan et qui ont été déposés dans des banques aux États-Unis durant le temps que ces derniers avaient envahi militairement ce pays et qu’ils l’occupaient illégalement : «Joe Biden ordonne la saisie de 7 milliards de dollars U.S.» (La Presse, 11 février 2022). Joe va se servir de cet argent afin de dédommager les familles des victimes américaines du fameux 11 septembre. Qu’est-ce le gouvernement afghan a à voir là-dedans? Rien. Mais il fallait trouver un prétexte afin de poser ce geste criminel et de punir les Talibans de les avoir humiliés avec l’appui de la majorité de la population, comme ce fut le cas à Cuba il y a plus de 60 ans. Eh, oh, cet argent appartient à l’Afghanistan. Le saisir c’est du vol.

Tuer des innocents afin de maintenir sa mainmise

«Afghanistan. Crainte d’une catastrophe humanitaire (pas les voler) avec les Talibans» (Le Devoir, 14 septembre 2021). Joe Biden sait fort bien que le vol des 7 milliards de dollars U.S. appartenant à l’Afghanistan va tuer des gens et va nécessiter des coupures drastiques dans les systèmes de santé et d’éducation. Mais, comme toujours, tout ça c’est le dernier des soucis de l’Oncle Sam pour qui seuls importent ses propres intérêts et ceux de ses multinationales. Aie, ils ont tué plus d’un million d’Irakiens en envahissant ce pays militairement, en mentant, et en imposant de lourdes sanctions précédant l’invasion. Voilà le prix à payer pour ne pas faire comme le Canada et de se soumettre docilement.

Quand nos médias diabolisent les Talibans

Il faut bien rire de l’encrassement idéologique de nos médias qui se prétendent libres et indépendants, tout en étant financés abondamment par l’État (Québec et Ottawa), par des commanditaires et des mécènes privés et par beaucoup de la publicité. Ce n’est qu’une pure coïncidence si nos médias d’information, comme le gouvernement canadien et comme celui des States, affirment depuis toujours que les méchants sont les Russes, les Chinois, les Iraniens et les Talibans. Vous savez, du moins je l’espère, qui sont les bons.

Vraiment risible et grossier, en prenant les lecteurs pour des imbéciles, de lire le titre de ces articles de journaux (Le Devoir et Radio-Canada) qui dépeignent très bien, sans aucune subtilité, qui sont les bons et qui sont les vilains. C’était tellement mieux quand les Américains dirigeaient l’Afghanistan. Tellement plus de liberté, plus de démocratie, plus de McDo, plus de VUS, plus de Facebook, plus de casinos, plis de tondeuses, et plus de médias privés.

Voici 4 articles publiés par Le Devoir qui illustrent bien le penchant idéologique de ce journal et de sa petitesse en termes de neutralité et de professionnalisme :

  • «Un homme de Sherbrooke (un seul immigré afghan sur une population d’environ 36 millions d’habitants) est devenu dépositaire de l’identité d’Afghans menacés par les Talibans (Le Devoir, 7 septembre 2021);
  • «Voir Kaboul tomber deux fois. Une Canado-Afghane (encore une seule qui les autorise à généraliser) raconte sa fuite chaotique de la capitale» (Le Devoir, 1er septembre 2021). Il faudrait faire une téléréalité;
  • «Afghanistan. Le mirage de cendres. Le pays est replongé (depuis le malheureux départ des bons Yankees) dans l’abîme infernal (non l’enfer c’est moins pire que les Talibans) des pratiques barbares des Talibans» (Le Devoir, 28 août 2021). Il faudrait produire un film américain avec plusieurs suites;
  • «Afghanistan. Nolisez les avions, sortez-les de là. Des personnalités du milieu juridique demandent de pouvoir parrainer leurs consœurs afghanes en danger» (Le Devoir, 24 août 2021). Aie, ces mêmes humanistes ont démontré moins d’empathie envers les 900 000 Rohingyas musulmans, tués, violés, battus et chassés de leur pays le Myanmar (Birmanie) et parqués depuis plus de 3 ans dans des camps de concentration au Sri-Lanka. Nos gouvernements occidentaux, dont le Canada, et nos mécènes d’ici n’ont démontré aucune presse et aucune envie (pourquoi donc?) à noliser plein d’avions afin de les faire venir en grand nombre au Canada à titre de vrais réfugiés, ce qui n’est pas du tout le cas pour certains;
  • Et une dernière drôle, l’œuvre de Radio-Canada : «Un Québécois d’origine afghane terrifié par le retour en force des Talibans» (Radio-Canada, 2 septembre 2021). La rédaction et la publication d’un roman seraient de mise qui rendraient compte des profondes angoisses dudit réfugié. En passant, félicitations à nos médias pour tant de nouvelles objectives qui éveillent nos consciences et alimentent notre sens critique de l’actualité internationale même si on en sort plus intoxiqué.

Biden n’aime pas le Venezuela et Cuba : il préfère Israël, l’Arabie saoudite et l’Ukraine

De quels droit les États-Unis se permettent-ils de commettre tant de gestes illégaux qui, s’ils avaient été le lot des Russes ou des Chinois, on aurait crié au meurtre? Prenons ce fait immonde qui, pour nos médias, passe pour un simple fait divers : «Washington saisit du pétrole iranien destiné au Venezuela» (La Presse, 14 août 2020). Ici, les USA briment sans vergogne la liberté et la souveraineté de l’Iran et du Venezuela. Aie, en raison des criminelles sanctions américaines, le Venezuela, pourtant un pays riche en pétrole, est obligé d’en importer de l’Iran en catimini car les États-Unis ont aussi interdit aux autres pays d’importer du pétrole de l’Iran sous peine de sanctions et de poursuites criminelles.

Plus facile de s’acharner sur Cuba

Et maintenant, il faut aussi sévir contre Cuba qui refuse obstinément de rentrer sous la tutelle américaine. Les États-Unis sont vraiment dégueulasses et abusent de leur pouvoir économique et militaire : «Commerce. Washington punira les acteurs étrangers investissant sur l’île de Cuba» (Le Devoir, 18 avril 2019). Et Biden prenant la relève de Donald Trump : «Sous pression (à des fins électoralistes), Biden sanctionne (encore davantage) Cuba et menace d’aller plus loin» (Le Journal de Montréal, 30 juillet 2021). Les États-Unis sont toujours prompts à se battre supposément pour la liberté et la démocratie tout en se comportant de façon autoritaire et dictatorial en brimant la liberté des autres : «Pour la 29e fois, l’ONU (184 pays sur 193 membres) condamne l’embargo (criminel) contre Cuba» (La Presse, 23 juin 2021). Ils sont tellement ridicules qu’ils en sont drôles : «Contre-terrorisme. Cuba inscrite sur une liste noire américaine» (La Presse, 13 mai 2020). Aie, un pays terroriste qui accuse Cuba de terrorisme. Comme dit le poète : «terroriste toi-même» ou «celui qui le dit est celui qui l’est».  

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s